S.O.S Animaux
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| POËME SUR LES ANIMAUX | |
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catherinebelge fondatrice & Admin
Nombre de messages : 12694 Age : 51 Localisation : belgique Humeur : bonne quand nos ami a quatre patte sont sauver Date d'inscription : 30/01/2008
| Sujet: POËME SUR LES ANIMAUX Dim 29 Juin - 15:17 | |
| L' amour des animaux Charmants , attendrissants Sinceres et fideles Ils nous aiment Chiens et chats et tous les autres Jamais ils nous abandonnent Une fois donne Leur amour est a vie Sans mensonge Sans faillir Mignons, doux et calins Ne leur faites pas de mal Jamais ils ne vous laisseront Guettant un calin , une caresse Laissez vous aller sans paresse Ils sont si heureux De partager vos jeux Si ils n existaient pas Le bonheur ne serait pas aussi intense Ils nous donnent tant Sans jamais faiblir Il faut les aimer a mourir | |
| | | catherinebelge fondatrice & Admin
Nombre de messages : 12694 Age : 51 Localisation : belgique Humeur : bonne quand nos ami a quatre patte sont sauver Date d'inscription : 30/01/2008
| Sujet: Re: POËME SUR LES ANIMAUX Dim 29 Juin - 15:22 | |
| Quand j'étais un chiot, je vous ai amusés avec mes cabrioles et vous ai fait rire. Vous m'avez appelé votre enfant, et en dépit de plusieurs chaussures mâchées et quelques oreillers assassinés, je suis devenu votre meilleur ami. Toutes les fois que j'étais méchant tu agitais ton doigt vers moi et me demandais " Comment peux-tu?" mais après on s'amusait ensemble. Mon éducation a pris un peu plus longtemps que prévu, parce que vous étiez terriblement occupés, mais nous y avons travaillé ensemble. Je me souviens de ces nuits où je fouinais dans le lit et écoutais tes confidences et rêves secrets, et je croyais que la vie ne pourrait pas être plus parfaite.
Nous sommes allés pour de longues promenades et courses dans le parc, promenades de voiture, arrêts pour de la crème glacée (j'ai seulement eu le cornet parce que " la glace est mauvaise pour les chiens," comme tu disais), et je faisais de longues siestes au soleil en attendant que tu rentres à la maison. Progressivement, tu as commencé à passer plus de temps au travail et tu t'es concentré sur ta carrière, et plus de temps à chercher un compagnon humain. Je t'ai attendu patiemment, t'ai consolé après chaque déchirement de cœur et déceptions, ne t'ai jamais réprimandé au sujet de mauvaises décisions, et me suis ébattu avec joie lors de tes retours au foyer, et puis tu es tombé amoureux
Elle, maintenant ta femme, n'est pas une « personne-chien » mais je l'ai accueillie dans notre relation, essayé de lui montrer de l'affection, et lui ai obéi. J'étais heureux parce que tu étais heureuse. Ensuite les bébés humains sont arrivés et j'ai partagé votre excitation. J'étais fasciné par leur couleur rose, leur odeur, et je voulais les pouponner aussi.
Seulement vous vous êtes inquiétés que je puisse les blesser, et j'ai passé la plupart de mon temps banni dans une autre pièce, ou dans une niche. Oh, comme je voulais les aimer, mais je suis devenu un "prisonnier de l'amour". Quand ils ont commencé à grandir, je suis devenu leur ami. Ils se sont accrochés à ma fourrure et se sont levés sur leurs jambes branlantes, ont poussé leurs doigts dans mes yeux, fouillé mes oreilles, et m'ont donné des baisers sur le nez. J'aimais tout d'eux et leurs caresses parce que les tiennes étaient maintenant si peu fréquentes et je les aurais défendus avec ma vie si besoin était. J'allais dans leurs lits et écoutais leurs soucis et rêves secrets, et ensemble nous attendions le son de ta voiture dans l'allée.
Il y eut un temps, quand les autres te demandaient si tu avais un chien et qu'ils te demandaient une photo de moi tu en avais une à leur montrer dans ton portefeuille et tu leur racontais des histoires à mon propos. Ces dernières années tu répondais "juste oui " et changeais de sujet. Je suis passé du statut de " ton chien " à " seulement un chien, " et vous vous êtes offensés de chaque dépense pour moi.
Maintenant, vous avez une nouvelle occasion de carrière dans une autre ville, et vous allez déménager dans un appartement qui n'autorise pas d'animaux familiers. Tu as fait le bon choix pour ta " famille ", mais il y eut un temps où j'étais ta seule famille. J'étais excité par la promenade en voiture jusqu'à ce que nous arrivions au refuge pour animaux. Cela sentait les chiens et chats, la peur, le désespoir. Tu as rempli la paperasserie et tu as dit " je sais que vous trouverez une bonne maison pour lui ". Ils ont haussé les épaules et vous ont jeté un regard attristé. Ils comprennent la réalité qui fait face à un chien entre deux âges, même un avec " des papiers ". Tu as dû forcer les doigts de ton fils pour les détacher de mon col et il criait " Non, Papa! S'il vous plaît ne les laissez pas prendre mon chien!" Et je me suis inquiété pour lui, quelles leçons lui avez-vous apprises à l'instant, au sujet de l'amitié et la loyauté, au sujet de l'amour et de la responsabilité, et au sujet du respect pour toute vie. Tu m'as donné un « au revoir caresse » sur la tête, tu as évité mes yeux, et tu as refusé de prendre mon collier avec vous.
Après votre départ, les deux gentilles dames ont dit que vous saviez probablement au sujet de votre départ il y a de cela plusieurs mois et rien fait pour me trouver une autre bonne maison. Elles ont secoué leurs têtes et ont dit " Comment est-ce possible?"
Ils sont aussi attentifs à nous ici dans le refuge que leurs programmes chargés ne le leur permet. Ils nous nourrissent, bien sûr, mais j'ai perdu l'appétit il y a plusieurs jours. Au début, chaque fois que quelqu'un passait près de ma cage, je me dépêchais en espérant que c'était toi, que tu avais changé d'avis, que c'était juste un mauvais rêve. ou j'espérais tout au moins que ça soit quelqu'un qui se soucie de moi et qui pourrait me sauver. Quand je me suis rendu compte que je ne pourrais pas rivaliser avec les autres chiots qui folâtraient pour attirer l'attention, je me suis retiré dans un coin de la cage et ai attendu
J'ai entendu ses pas quand elle s'approchait de moi en fin de journée, et je piétinais le long de l'allée jusqu'à une pièce séparée. Une pièce heureusement tranquille. Elle m'a placé sur la table et a frotté mes oreilles, et m'a dit de ne pas m 'inquiéter. Mon cœur battait d'anticipation à ce qui était à venir, mais il y avait aussi un sentiment de soulagement. Le « prisonnier de l'amour » avait survécu à travers les jours. Comme c'est dans ma nature, je me suis plus inquiété d'elle. Le fardeau qu'elle porte pèse lourdement sur elle, et je le sais, de la même manière que je connais votre humeur chaque jour.
Elle a placé une chaîne doucement autour de ma patte de devant et une larme a roulé sur sa joue. J'ai léché sa main de la même façon que je te consolais il y a tant d'années. Elle a glissé l'aiguille hypodermique habilement dans ma veine.
Quand j'ai senti le dard et les liquides se répandre à travers mon corps, je me suis assoupi, l'ai examinée de mes gentils yeux et ai murmuré " Comment as-tu pu? "
Peut-être parce qu'elle comprenait mon langage, elle a dit " je suis si désolée". Elle m'a étreint, et m'a expliqué précipitamment que c'était son travail de s'assurer que j'aille à une meilleure place où je ne serais pas ignoré ou abusé ou abandonné, ou aurais à pourvoir moi-même à mes besoins, une place remplie d'amour et de lumière très différente de cet endroit. Et avec mes dernières énergies, j'ai essayé de me transporter jusqu'à elle et lui expliquer avec un coup sourd de ma queue que mon " Comment as-tu pu? " n'était pas dirigé contre elle. C'était à toi, mon maître bien-aimé, que je pensais.
Je penserai à toi et t'attendrai à jamais. Puisse tout le monde dans ta vie continuer à te montrer autant de loyauté. | |
| | | catherinebelge fondatrice & Admin
Nombre de messages : 12694 Age : 51 Localisation : belgique Humeur : bonne quand nos ami a quatre patte sont sauver Date d'inscription : 30/01/2008
| Sujet: MON CHIEN Dim 29 Juin - 15:24 | |
| Mon chien, complice de tous les instants, boule de poils au regard si parlant, gardien silencieux de mes peines, témoin affectueux de mes joies humaines.
Mon chien, que d'aucuns nomment clébard, n'est certes pas dépourvu de certaines tares. Et si nos malheureuses chaussures en firent les frais parfois, ta loyale compagnie vaut bien ces quelques débordements de joie.
Mon chien, ami du 1er moment, à la fois si discret et si imposant, tu donnes un amour inconditionnel à des maîtres souvent indignes d'un honneur pareil.
Mon chien, fidèle à la main qui te gourmande et te flatte, tu es sans nul doute le plus aimant de mes amis à 4 pattes. Et quand ta truffe me presse doucemnent d'une caresse, je te dois alors d'y mettre la plus grande des tendresses. | |
| | | catherinebelge fondatrice & Admin
Nombre de messages : 12694 Age : 51 Localisation : belgique Humeur : bonne quand nos ami a quatre patte sont sauver Date d'inscription : 30/01/2008
| Sujet: Re: POËME SUR LES ANIMAUX Dim 29 Juin - 15:28 | |
| Paradis des Chiens Savais-tu qu'il y a un paradis pour les chiens? Et oui, dans une autre dimension, dans le monde astral, il y a un nid rempli d'amour et douillet pour nous. Il y a des balles à profusion, des os à enterrer, des montagnes de boulettes de viande, il n'y a pas de laisse, et surtout...il n'y a pas de mal traitence Je suis bien où je suis. Je suis bien entouré(e). Toutes les caresses, toutes les tendres attentions que tu m'as offertes, je les ai apportées avec moi. La plus importante des choses que tu dois savoir, c'est qu'il y a une ouverture dans les nuages d'où je peux te voir. C'est comme si tu étais avec moi. D'ici, je peux prendre soin de toi en pensée. Il m'est impossible de t'oublier, ton image et ta gentillesse sont gravées dans mon coeur Si un matin, tu te réveilles avec un sourire aux lèvres et un jappement dans les oreilles, c'est que je t'aurai rendu une petite visite dans ton sommeille | |
| | | catherinebelge fondatrice & Admin
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| Sujet: Re: POËME SUR LES ANIMAUX Dim 29 Juin - 15:30 | |
| La complainte du chien abandonné !
Au fond du vieux refuge, dans une niche en bois, Depuis deux ans je purge, d'avoir trop cru en toi. Tous les jours je t'attends, certain que tu viendras, Tous les soirs je m'endors, sans que tu ne sois là.
Pourtant je suis certain, je te reconnaîtrai, Viens me tendre une main, je te la lécherai. Tu te souviens très bien, quand je sautais sur toi, Que tu me caressais, que je dansais de joie.
Que c'est il donc passé, pour que ce 16 juin, Heureux que tu étais, je me rappelle bien, Tu sifflais, tu chantais, en bouclant les valises, Que tu m'aies attaché, là, devant cette église.
Je ne peux pas comprendre, et ne croirai jamais, Que toi qui fus si tendre, tu sois aussi mauvais. Peut-être es-tu très loin, dans un autre pays, Mais quand tu reviendras, moi j'aurai trop vieilli.
Ton absence me pèse, et les jours sont si longs, Mon corps s'épuise, et mon cœur se morfond. Je n'ai plus goût à rien, et je deviens si laid, Que personne, jamais, ne voudra m'adopter.
Mais moi je ne veux pas, que l'on me trouve un maître, Je montre bien mes dents, et je prends un air traître, Envers qui veut me prendre, ou bien me caresser, Pour toutes illusions, enfin leur enlever.
Car c'est toi que j'attends, prêt à te pardonner, A te combler de joie, du mieux que je pourrai, Et je suis sûr, tu vois, qu'ensemble nous saurions, Vivre des jours heureux, en réconciliation.
Pour cela, je suis prêt, à faire de gros efforts, A rester près de toi, à veiller quand tu dors, Et à me contenter, même si j'ai très faim, D'un vulgaire petit os, et d'un morceau de pain.
Je n'ai jamais rien dit, lorsque tu m'as frappé, Sans aucune raison, quand tu étais énervé, Tu avais tous les droits, j'étais à ton service, Je t'aimais sans compter, j'acceptais tous tes vices.
Tu m'as mis à la chaîne, ou tu m'as enfermé, Tu m'as laissé des jours, sans boire et sans manger, J'ai dormi bien souvent, dans ma niche sans toit, Paralysé, raidi, tellement j'avais froid. Pourtant, si tu reviens, nous partirons ensemble, Nous franchirons en chœur, la porte qui ressemble, A celle d'une prison, que je ne veux plus voir, Et dans laquelle, hélas, j'ai broyé tant de noir.
Voilà, mon rêve se termine, car je vois le gardien, Puis l'infirmière, et le vétérinaire plus loin, Ils entrent dans l'enclos, et leurs visages blêmes, En disent long pour nous, sur ce qu'ils nous amènent.
Je suis heureux, tu vois, car dans quelques instants, Je vais tout oublier, et, comme il y a deux ans, Je m'endormais sur toi, mon cher et grand ami, Je dormirai toujours, grâce à …l'euthanasie.
Et s'il t'arrive un jour, de repenser à moi, Ne verse pas de larmes, ne te prends pas d'émoi, Pour toi, j'étais " qu'un chien ", tu préférais la mer, Tu l'aurais su avant, j'aurai payé moins cher.
A vous tous les humains, j'adresse une prière, Me tuer tout petit, aurait peiné ma mère, Mais il eut mieux valu, pour moi, cette manière, Et vous n'auriez pas eu, aujourd'hui, à le faire. | |
| | | catherinebelge fondatrice & Admin
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| Sujet: LETTRE A MON MAITRE QUE J'AIMAIS Dim 29 Juin - 15:34 | |
| LETTRE A MON MAITRE
"Comment est-ce possible ? Quand j'étais un chiot, je vous ai amusés avec mes cabrioles et vous ai fait rire. Vous m'avez appelé votre enfant, et en dépit de plusieurs chaussures mâchées et quelques oreillers assassinés, je suis devenu votre meilleur ami. Toutes les fois que j'étais méchant, tu agitais ton doigt vers moi et me demandais "Comment peux-tu ?" mais après on s'amusait ensemble. Mon éducation a pris un peu plus longtemps que prévu, parce que vous étiez terriblement occupés, mais nous y avons travaillé ensemble. Je me souviens de ces nuits où je fouinais dans le lit et écoutais tes confidences et rêves secrets, et je croyais que la vie ne pourrait pas être plus parfaite. Nous avons partagé de longues promenades et courses dans le parc, promenades en voiture, arrêts pour de la crème glacée (j'ai seulement eu le cornet parce que "la glace est mauvaise pour les chiens" comme tu disais), et je faisais de longues siestes au soleil en attendant que tu rentres à la maison. Progressivement, tu as commencé à passer plus de temps au travail et tu t'es concentré sur ta carrière, et plus de temps à chercher un compagnon humain. Je t'ai attendu patiemment, t'ai consolé après chaque déchirement de cœur et déceptions, ne t'ai jamais réprimandé au sujet de mauvaises décisions, et me suis ébattu avec joie lors de tes retours au foyer, et puis tu es tombé amoureux. Elle, maintenant ta femme, n'est pas une « personne chien » mais je l'ai accueillie dans notre maison, essayé de lui montrer de l'affection, et lui ai obéi. J'étais heureux parce que tu étais heureux. Ensuite les bébés humains sont arrivés et j'ai partagé votre excitation. J'étais fasciné par leur couleur rose, leur odeur, et je voulais les pouponner aussi. Seulement vous vous êtes inquiétés que je puisse les blesser, et j'ai passé la plupart de mon temps banni dans une autre pièce, ou dans une niche. Oh, comme je voulais les aimer, mais je suis devenu un "prisonnier de l'amour". Quand ils ont commencé à grandir, je suis devenu leur ami. Ils se sont accrochés à ma fourrure et se sont levés sur leurs jambes branlantes, ont poussé leurs doigts dans mes yeux, fouillé mes oreilles, et m'ont donné des baisers sur le nez. J'aimais tout d'eux et leurs caresses parce que les tiennes étaient maintenant si peu fréquentes et je les aurais défendus avec ma vie si besoin était. J'allais dans leurs lits et écoutais leurs soucis et rêves secrets, et ensemble nous attendions le son de ta voiture dans l'allée. Il y eut un temps, quand les autres te demandaient si tu avais un chien et qu'ils te demandaient une photo de moi, tu en avais une à leur montrer dans ton portefeuille et tu leur racontais des histoires à mon propos. Ces dernières années tu répondais "juste oui" et changeais de sujet. Je suis passé du statut de "ton chien" à "seulement un chien" et vous vous êtes offensés de chaque dépense pour moi. Maintenant, vous avez une nouvelle occasion de carrière dans une autre ville, et vous allez déménager dans un appartement qui n'autorise pas d'animaux familiers. Tu as fait le bon choix pour ta "famille", mais il y eut un temps où j'étais ta seule famille. J'étais excité par la promenade en voiture jusqu'à ce que nous arrivions au refuge pour animaux. Cela sentait les chiens et chats, la peur, le désespoir. Tu as rempli la paperasserie et tu as dit "je sais que vous trouverez une bonne maison pour lui". Ils ont haussé les épaules et vous ont jeté un regard attristé. Ils comprennent la réalité qui fait face à un chien entre deux âges, même un avec "des papiers". Tu as dû forcer les doigts de ton fils pour les détacher de mon col et il criait "Non, Papa ! S'il te plaît, ne les laissez pas prendre mon chien !" Et je me suis inquiété pour lui, quelles leçons lui avez-vous apprises à l'instant, au sujet de l'amitié et la loyauté, au sujet de l'amour et de la responsabilité, et au sujet du respect pour toute vie. Tu m'as donné un «au revoir caresse» sur la tête, tu as évité mes yeux, et tu as refusé de prendre mon collier avec vous.Après votre départ, les deux gentilles dames ont dit que vous saviez probablement au sujet de votre départ il y a de cela plusieurs mois et rien fait pour me trouver une autre bonne maison. Elles ont secoué leurs têtes et ont dit "Comment est-ce possible ?" Ils sont aussi attentifs à nous ici dans le refuge que leurs programmes chargés ne le leur permet. Ils nous nourrissent, bien sûr, mais j'ai perdu l'appétit il y a plusieurs jours. Au début, chaque fois que quelqu'un passait près de ma cage, je me dépêchais en espérant que c'était toi, que tu avais changé d'avis, que c'était juste un mauvais rêve. Ou j'espérais tout au moins que ça soit quelqu'un qui se soucie de moi et qui pourrait me sauver. Quand je me suis rendu compte que je ne pourrais pas rivaliser avec les autres chiots qui folâtraient pour attirer l'attention, je me suis retiré dans un coin de la cage et ai attendu. J'ai entendu ses pas quand elle s'approchait de moi en fin de journée, et je piétinais le long de l'allée jusqu'à une pièce séparée. Une pièce heureusement tranquille. Elle m'a placé sur la table et a frotté mes oreilles, et m'a dit de ne pas m 'inquiéter. Mon cœur battait d'anticipation à ce qui était à venir, mais il y avait aussi un sentiment de soulagement. Le «prisonnier de l'amour» avait survécu à travers les jours. Comme c'est dans ma nature, je me suis plus inquiété d'elle. Le fardeau qu'elle porte pèse lourdement sur elle, et je le sais, de la même manière que je connais votre humeur chaque jour. Elle a placé un lien doucement autour de ma patte de devant et une larme a roulé sur sa joue. J'ai léché sa main de la même façon que je te consolais il y a tant d'années. Elle a glissé l'aiguille hypodermique habilement dans ma veine. Quand j'ai senti le dard et les liquides se répandre à travers mon corps, je me suis assoupi, l'ai examinée de mes gentils yeux et ai murmuré "Comment as-tu pu ?" Peut-être parce qu'elle comprenait mon langage, elle a dit "je suis si désolée". Elle m'a étreint, et m'a expliqué précipitamment que c'était son travail de s'assurer que j'aille à une meilleure place où je ne serais pas ignoré ou abusé ou abandonné, ou aurais à pourvoir moi-même à mes besoins, une place remplie d'amour et de lumière très différente de cet endroit. Et avec mes dernières énergies, j'ai essayé de me transporter jusqu'à elle et lui expliquer avec un coup sourd de ma queue que mon "Comment as-tu pu ?" n'était pas dirigé contre elle. C'était à toi, mon maître bien-aimé, que je pensais. Je penserai à toi et t'attendrai à jamais. Puisse tout le monde dans ta vie continuer à te montrer autant de loyauté. | |
| | | catherinebelge fondatrice & Admin
Nombre de messages : 12694 Age : 51 Localisation : belgique Humeur : bonne quand nos ami a quatre patte sont sauver Date d'inscription : 30/01/2008
| Sujet: Re: POËME SUR LES ANIMAUX Lun 30 Juin - 0:38 | |
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| | | catherinebelge fondatrice & Admin
Nombre de messages : 12694 Age : 51 Localisation : belgique Humeur : bonne quand nos ami a quatre patte sont sauver Date d'inscription : 30/01/2008
| Sujet: voles oiseau Ven 19 Sep - 15:17 | |
| vole petit oiseau vole si haut fuis le froid fuis le tracas monte vers le ciel a un monde moin cruel je te suis avec mes yeux je sais tu serais heureux retrouve tes amis tes chans et ta famille ouvres tes ailes blancs et envoles toi vers l ocean pardonnes moi de t avoir pris finis la cage et les barreaux gris j avais besoin d entendre ta voix et j ai oublié tes droits si un jour tu venais me cherchais a la meme place tu me trouverais sur mon balcon enneigé je t attendrai............. Auteur du poème : houda | |
| | | catherinebelge fondatrice & Admin
Nombre de messages : 12694 Age : 51 Localisation : belgique Humeur : bonne quand nos ami a quatre patte sont sauver Date d'inscription : 30/01/2008
| Sujet: chien 1 ere categorie Ven 19 Sep - 15:24 | |
| Mon animal...
Mon animal n a rien de béstial ,
On me dit , il est joli.C'est quelle catégorie ?
Voyons les gens je sais qu'il a de grande dents
Mais est il pour autant trés méchant ?
Mon animal n'est pas qu une bète
Est ce que ça tu le respecte ?
Les faits divers ne parlent que de ceux,
Que vous jugez dangeureux,
Mais c'est par des gens comme vous
Qu'on noublie que c'est juste un toutou
En t'éduquant comme une arme,
Tu serais devenu fatale,
Mais en te chérissant d amour,
J'ai beaucoup plus en retour ..
Auteur du poème : ELEPHA | |
| | | catherinebelge fondatrice & Admin
Nombre de messages : 12694 Age : 51 Localisation : belgique Humeur : bonne quand nos ami a quatre patte sont sauver Date d'inscription : 30/01/2008
| Sujet: le cigne Ven 19 Sep - 15:56 | |
| Sans bruit, sous le miroir des lacs profonds et calmes, Le cygne chasse l'onde avec ses larges palmes, Et glisse. Le duvet de ses flancs est pareil A des neiges d'avril qui croulent au soleil ; Mais ferme et d'un blanc mat, vibrant sous le zéphyr, Sa grande aile l'entraîne ainsi qu'un lent navire. Il dresse son beau col au-dessus des roseaux, Le plonge, le promène allongé sur les eaux. Le courbe gracieux comme un profil d'acanthe, Il cache son bec noir dans sa gorge éclatante. Tantôt le long des pins, séjour d'ombre et de paix, Il serpente et laissant les herbages épais Traîner derrière lui comme une chevelure, Il va d'une tardive et languissante allure. Tantôt il pousse au large et loin du bois obscur, Superbe, gouvernant du côté de l'azur, Il choisit pour fêter sa blancheur qu'il admire, La place éblouissante où le soleil se mire. Puis quand les bords de l'eau ne se distinguent plus, A l'heure où toute forme est un spectre confus, L'oiseau dans le lac sombre où sous lui se reflète La splendeur d'une nuit lactée et violette, Comme un vase d'argent parmi les diamants, Dort, la tête sous l'aile, entre deux firmaments.
(Les solitudes) (Sully Prudhomme 1839-1907) | |
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